LARIBOISIERE

Patrimoine
Le nouvel Hôpital Laribosière est programmé par l’A.P.H.P. pour la seconde décennie du XXIème siècle.

Ce nouvel ensemble hospitalier se projette dans la continuité du patrimoine historique de 1854, date de la livraison du premier hôpital pour la rive nord de Paris.

À l’origine innovant dans sa conception, ce patrimoine qui diffusa le modèle du peigne est valorisé dans le schéma directeur mis à l’étude dans notre mission de programmation.
Le nouvel Hôpital Laribosière est programmé par l’A.P.H.P. pour la seconde décennie du XXIème siècle.

Ce nouvel ensemble hospitalier se projette dans la continuité du patrimoine historique de 1854, date de la livraison du premier hôpital pour la rive nord de Paris.

À l’origine innovant dans sa conception, ce patrimoine qui diffusa le modèle du peigne est valorisé dans le schéma directeur mis à l’étude dans notre mission de programmation.

Lieu

Paris 10e

Mission

Mission de programmation "Nouveau Lariboisière 2020"

Client

A.P.H.P.

Coût

300 M€

Maître d'Œuvre

Athégram mandataire
Pierre Marchand Architectes

Agenda

Livré - 2015
Le travail de l’agence permet une réflexion sur le caractère patrimonial du site et sur le respect de celui-ci dans la continuation du projet hospitalier.

La demande d'une valorisation du patrimoine s'inscrit dans la préservation d'un bâtiment historique comme base de travail à toute création d'un nouvel hôpital. En effet, l'étude de programmation répond à la demande d'un hôpital "connecté" par la création d'un bâtiment neuf en juxtaposition avec celui d'origine.

La question de la réutilisation des espaces anciens se pose et questionne la conservation comme préalable à la création de bâtiments éminemment techniques comme l'est un hôpital.

Véritable machine à guérir, le nouvel hôpital ne peut s'installer dans les bâtiments anciens inadaptés et non modulables.

La mission de programmation architecturale patrimoniale pose les bases d'un futur dialogue entre les deux masses bâties construites que seront l'ancien et le nouvel hôpital.

Ce dialogue entre les deux entités se fera en respectant une certaine lecture du patrimoine d'origine protégé. La répétition des pignons et leur indépendance morphologique seront garanties par la construction en "retrait" et en totale séparation du bâtiment neuf.

Le travail de l’agence permet une réflexion sur le caractère patrimonial du site et sur le respect de celui-ci dans la continuation du projet hospitalier.

La demande d'une valorisation du patrimoine s'inscrit dans la préservation d'un bâtiment historique comme base de travail à toute création d'un nouvel hôpital. En effet, l'étude de programmation répond à la demande d'un hôpital "connecté" par la création d'un bâtiment neuf en juxtaposition avec celui d'origine.

La question de la réutilisation des espaces anciens se pose et questionne la conservation comme préalable à la création de bâtiments éminemment techniques comme l'est un hôpital.

Véritable machine à guérir, le nouvel hôpital ne peut s'installer dans les bâtiments anciens inadaptés et non modulables.

La mission de programmation architecturale patrimoniale pose les bases d'un futur dialogue entre les deux masses bâties construites que seront l'ancien et le nouvel hôpital.

Ce dialogue entre les deux entités se fera en respectant une certaine lecture du patrimoine d'origine protégé. La répétition des pignons et leur indépendance morphologique seront garanties par la construction en "retrait" et en totale séparation du bâtiment neuf.
Complexe dans le fonctionnement et dans les flux, l’hôpital nécessite une organisation "à plat" et "en vertical" qui ne peut se satisfaire d'un fonctionnement dans deux bâtiments distincts. Dans le cas présent, le principe de séparation de l’hospitalisation et des consultations permet de limiter les liaisons entre le bâtiment neuf et le bâtiment ancien.

L’hôpital d'origine conserve la consultation et l'accès historique. Le bâtiment neuf s'adresse au nord sur une nouvelle entrée qui inverse l’hôpital et l'adresse encore plus aux quartiers Nord par l'ouverture d'un jardin sur le boulevard de la Chapelle.
Complexe dans le fonctionnement et dans les flux, l’hôpital nécessite une organisation "à plat" et "en vertical" qui ne peut se satisfaire d'un fonctionnement dans deux bâtiments distincts. Dans le cas présent, le principe de séparation de l’hospitalisation et des consultations permet de limiter les liaisons entre le bâtiment neuf et le bâtiment ancien.

L’hôpital d'origine conserve la consultation et l'accès historique. Le bâtiment neuf s'adresse au nord sur une nouvelle entrée qui inverse l’hôpital et l'adresse encore plus aux quartiers Nord par l'ouverture d'un jardin sur le boulevard de la Chapelle.
Crédits
Photographies : Pierre Marchand Architectes